Une Lapeyradoise (34), toujours aussi ensoleillée

Date : Jeudi 17 juin 2010 @ 21:06:48 :: Sujet : Tribune des Membres PCAP... Racontez... Publiez vos articles...

Pas la grande foule pour cette 3e Lapeyradoise organisée ce dimanche par le Comité de Coordination des Associations Lapeyradoises dans ce « bout de ville » de Frontignan en équilibre entre Frontignan ville et Sète. Mais quand même quelque 200 partants en tout pour le 11 km, le 6 km et la randonnée sur la même distance. Il n’empêche, même s’il faut bien connaître la Peyrade, comme moi, venu en voisin, en « local », pour trouver une place de stationnement, voir une place Gabriel Péri un peu « claire » de foule, ce n’est pas habituel et on se dit, comme on le verra après, qu’il y a encore du travail à faire pour attirer des centaines de coureurs.




J’avais envoyé mon engagement par mail (avec « confirmation de lecture », pour voir !) mais non, mail pas lu. Il fallait bien s’engager sur place (pour le prix annoncé, 8 €, heureusement !) mais pas la place de mettre le nom du club sur le bulletin. Donc, au classement,  j’étais « de Frontignan », Bruno Soues, le vainqueur,  de Montpellier, d’autres de Fabrègues ou de St Jean de Védas etc. Alors, à mon avis, si on ne voulait pas toucher les clubs à l’avenir, pour qu’ils ne viennent pas, on ne peut faire plus judicieux. Ce n’est qu’une remarque de détail...
 

Je regrette de ne pas avoir couru le 6 km, au moins pour m'engager à cette table !!!

 

Bon l’ambiance était quand même des plus correctes et familiales sur tous les plans. Celui de l’organisation, avec sa tête, comme ses bénévoles venus des différents clubs ou associations locales, la police municipale
 

 

bien utile, pour traverser les grands axes routiers, le club « Cœur et Santé » de Sète

,

venu en force avec ses marcheurs pour la randonnée -et recevoir un reversement d’argent de l’organisation- et tous ces coureurs qui se retrouvent joyeusement et plus facilement que lorsqu’on est plus, pour un mot gentil

 .

comme Emma et Dédé, de Bessan, qui retrouvent Louis Barbiero de Sète


 

Le tout, au dos du marché dominical bien fourni et bien sympa, deux jeunes commerçants ne me connaissant pas du tout m’ayant demandé de les prendre en photo !
 

 

Le 6 km avec quelque 40 partants, est parti à 9 h 30

et les marcheurs aussitôt derrière, sur le même circuit en bord d’étang avec retour par le fameux chemin de halage
 

 

Et là, ça va peut-être en faire sourire certains, Stéphane Viau (« de Montpellier » !), interviewé sur le podium à la remise des prix, a évoqué un fléchage défaillant et une certaine barrière restée baissée, qu’il a dû ouvrir pour continuer avec même un risque de se tromper de parcours ! Incroyable, mais vrai ! Barrière sur le chemin de halage ou à la déchetterie ? Toujours est-il que ça ferait une autre question à revoir pour l’an prochain…


Et un quart d’heure après, curieusement, les coureurs du 11 étaient « étalés », en ligne avant de se mettre sous la banderole.
 

  

Devant laquelle j’étais, pour prendre la photo du départ, vite mettre l’appareil dans ma banane et « monter dans le train » au passage. Ce qui a étonné mon copain de club Daniel de « Maguelone Jogging » (enfin un club cité !) qui m’a doublé vers le 2e km en s’étonnant de me voir pareillement parti ! Je lui ai expliqué après, que j’avais un peu… « triché ». Mais ça montre quand même l’importance de la position au départ…

Nous avons alors pénétré le domaine du « Château Stony » et ses vignes, pour zigzaguer au milieu de cet océan vert sur des chemins le plus souvent bitumés finalement
 

Et c'est là que la terrible Maryse Goudard, 68 ans aujourd'hui, me lâche sans coup férir !


avec le massif de la Gardiole en fond d’écran, pour revenir sur Frontignan, sa salle des sports Henri Ferrari et filer vers le canal et son deuxième ravitaillement au 8e km
 

où je pense avoir pris Patcastelnau et Nicolas en photo,  qui m'ont lâché après

 

 

et affronter le terrible chemin de halage sous un soleil de plomb, jusqu’à l’arrivée.

Ceci dit, juste avant le ravitaillement, j’ai refusé la bouteille proposée par une charmante blonde, sous prétexte que j’allais en profiter au ravito. Elle est partie pendant que je faisais une photo des handisports, qui m’ont aussi lâché irrémédiablement et quand Philippe, le photographe de la course, a déboulé derrière moi à VTT, 500 m avant la ligne, je me croyais bien dernier. 1 h 05 au final. En marchant moins, j’aurais fait moins et c’est la chaleur qui m’a finalement le plus handicapé.

 

Bruno Soues, un habitué des victoires, récompensé sur le podium

 

 

Une dernière remarque : au passage de la ligne je me suis fendu d’un « Allez Midi Libre », estimant en avoir fait déjà pas mal pour présenter la course dans le journal, avant d’en faire le compte-rendu circonstancié dans la semaine, pour le bénéfice des gentils organisateurs, lesquels n’ont pratiquement jamais cité le nom du journal, qui il est vrai a passé l’article désiré avec un peu de retard. Mais bon, l’an prochain, le journaliste local, au lieu d’être dans la course, se contentera d’une photo du départ et ça ne changera pas grand-chose...
 

Dominique, le président de Védas court, a retrouvé son cher drapeau !

 

Signalons quand même le beau geste des nouveaux fleuristes de « Au fil des Fleurs » (près du complexe funéraire) de la Peyrade, qui ont bien fleuri toutes ces dames et la fête, au riche programme, qui se prépare le week-end prochain, toujours à la Peyrade
 

 

Enfin honneur au dernier du 11 km, âgé de plus de 70 ans
 

 

 






Cet article provient de passioncourseapied.fr

L'URL pour cet article est : http://www.passioncourseapied.fr/article.php?sid=10000304&archive=1