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Renaud, J'ai raté Télé Foot : En arrivant dans la cuisine, j'me suis dis : tiens, un p'tit Ricard...
Gezen 1442 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 04:05
ATTENTION! La longueur de ce texte peut être dangereuse pour des yeux vulnérables!
Comme cela était également le cas au dernier soir avant mon marathon du début mars, je n’écoute pas les magazines spécialisés en running et je dépasse de nouveau les 200 g de pâtes al dente à la veille. Je suis prudent, je décide de ne pas manger la sauce que j’avais préparé pour mon repas à base de volaille et de légumes dans la mesure où je la trouve trop épicée pour un diner modéré. Je me couche vers 22h30 avant de me lever à 23h10 quand le téléphone sonne. Je ne connais pas le numéro qui m’appelle et en tant qu’un coureur responsable, je ne décroche pas afin de sauver ma concentration de sommeil. Néanmoins je ne passe pas une bonne nuit de dodo et quand mon alarme sonne le matin, je me lève assez nerveux. C’est l’un de ces moments où on sent qu’on était à quelques dizaines de minutes pour conclure un sommeil satisfaisant qu’on vient donc juste de rater. J’ai de la mauvaise humeur, ce n’est donc pas bien partie pour le jour de mon semi.
Heureusement j’avais tout préparé à la veille : Mes vêtements, mon ravitaillement d’avant course, mon papier d’informations où il y a tout dont le numéro du dossard de Valessa ainsi que le numéro de téléphone portable de son mari. Je prends mon petit déjeuner : 50 g de pain, du miel, environ 30 g de fromage blanc (je vous assure, que de 25% de matière grasse!), 20 cl de jus d’orange et une banane. Je ne néglige pas de mettre un peu de miel également dans ma tasse de thé qui ne suffit néanmoins pas à me réveiller suffisamment. Je décide quand même de ne pas boire de café en ayant peur que ça m’excite trop. Au métro je bois des petites gorgées d’eau de ma petite bouteille avant de passer à ma boisson énergétique à une heure et demie de la course.
Ce qui touche toute de suit à Ivry, c’est le nombre de bénévoles : dans un trajet de trois cents mètres, j’en vois au moins quarante ! C’est vraiment bien soigné et même pour quelqu’un comme moi qui ne suis pas connu par la grandeur de mon sens de direction, il est impossible de me perdre. J’arrive à la salle de gymnase pour récupérer mon dossard. Il y a beaucoup de coureurs dispersés à tous les coins de ce petit endroit où on se sent toute de suite chez soi. Bonne surprise, il ne faut pas faire la queue pour le dossard. J’y traine un peu en pensant à la possibilité que Valessa qui était censé y arriver en principe plus tard que moi m’appelle. Finalement je laisse mon sac au vestiaire et ensuite je m’offre une petite séance de kiné. Il y a dix kinésithérapeutes dont quelques étudiants ce qui m’impressionne comme chiffre pour ces courses (il y avait également un 10km) où il n’y a quand même pas de dix milliers de participants. La jeune kinésithérapeute s’occupe bien de mon mollet droit duquel je souffre depuis quelques semaines.
En effet j’ai passé la dernière semaine avec un peu de fièvre, un peu de mal à la gorge, en compagnie de mes contractures abdominales éternelles et de mes douleurs musculaires au niveau de diaphragme (que je n’avais plus depuis un mois et demi). En plus ça faisait quatre mois et demie que je n’avais pas fait d’entrainement de VMA ni de seuil à cause des blessures. Je ne savais donc pas ce que je valais et je me demandais si mes douleurs me permettront de courir ou de bien courir en tout cas.
J’arrive au point de départ juste à quelques minutes du début de la course parce que j’ai dû me déplacer quelques centaines de mètres pour trouver des toilettes accessibles, celles qui étaient à la salle nécessitant une attente d’une dizaine de minutes. Mais comme j’ai dû me dépêcher pour faire le trajet, on pourrait admettre que je me suis échauffé modestement.
J'ai croisé des coureurs de la course de 10 km avant d’arriver au point de départ du semi. Une coureuse d’une cinquantaine d’années a vomi à trente centimètres de moi avant de décider de continuer à son dernier kilomètre en marchant. Eh oui prudence, c’est ce à quoi je pense un peu moi aussi. J’envisage de partir à l’allure de 1h35m pour voir mon état pendant quelques minutes. Il y a des meneurs d’allure pour les 1h30m et 1h40m, et donc il faudra me placer entre les deux. Après quelques minutes d’attente, on part. J’arrive à la ligne de départ en 16 secondes et là on arrive à accélérer collectivement. On commence avec une petite côte avant d’avoir droit à une petite descente subséquente. Je passe le premier kilomètre à environ 4m30s ce qui est une parfaite allure de départ dans mes circonstances. Je suis un peu derrière du ballon de 1h30m. Par contre je ne sens pas bien cette course, je ne cours pas avec joie d’être là , je ne suis pas vraiment dans mon mouvement. Hélas, je continuerai en cet état pendant longtemps. Au troisième kilomètre je suis toujours à 4m30s/km et apparemment je suis bien dans le rythme même si je ne vis pas agréablement mon épreuve. J’ai une sorte de fatigue qui ne m’empêche pas de courir mais qui m’ôte l’énergie joviale de l’affrontement d’un coureur gai. A partir de ce troisième kilomètre j’accélère un peu et parviens à peu près à l’allure de 4m10s/km. J’arrive au premier ravitaillement où je vois l’offre qui contient de l’eau en bouteille, des fruits secs et des oranges. Je prends une bouteille d’eau pour en boire quelques gorgées et je continue à mon trajet. Entre le 7ème et 8ème kilomètre on est aux bords de la Seine mais il y a une odeur très désagréable qui nous accompagne. Mais bon, il faut respirer quand même ! Je garde mon allure jusqu’au dixième kilomètre où je vois sur l’écran de mon Garmin forerunner 50 que je venais de recevoir juste la veille de la course 42 minutes et19 secondes. Je suis un peu rapide et je me dis de me calmer légèrement pour ne pas me griller trop tôt dans la course. Mais bien sûr que je ne me calmerai pas …
Jusqu’au 13ème kilomètre, je suis constamment à à peu près à 150 mètres du ballon de 1h30m. C’est une sorte de limite psychologique pour moi, je n’ose pas à m’en rapprocher en n’étant pas sûr de moi-même. Mais je n’en suis pas loin, et je sais que j’ai la chance de faire 1h30m si j’arrive à maintenir mon allure jusqu’au dernier kilomètre. Mais là je commence peu à peu et timidement à aller plus vite. Au 14 ème kilomètre, le coureur qui est devant moi jette sa bouteille sans regarder derrière lui mais il me rate. Il m’aperçoit et il s’excuse. Je suis serein et je n’ai pas peur de lui, parce que c’était sa dernière bouteille. Je lui dis que ce n’est pas grave et alors tout le monde continue à son chemin avec son souci chronométrique. Mais je ne néglige pas de le doubler en guise d’un léger blâme quand même!
Avant d’arriver au 15ème kilomètre, un autre coureur que je viens de doubler me proteste de derrière parce que j’aurais coupé son trajectoire avec une accélération déplacée au dernier virage. Il a probablement raison sauf qu’il parle d’une manière assez stressée comme s’il a besoin de convaincre le juge de son innocence dans une affaire particulièrement compliquée dans un tribunal pénal. Mais à 14km/h on n’a bien entendu pas de temps d’en parler longuement et au moment où je m’excuse avec un mouvement de main, il me dit toute de suite « bon, d’accord » et retourne quasi mécaniquement à sa course avant de me doubler au virage prochain. Eh oui, c’est le boomerang du blâme.
Tout d’un coup je vois le meneur d'allure de 1h30m qui me double et je comprends toute de suite que même les meneurs d’allure peuvent avoir des besoins biologiques. Il nous encourage, moi et la coureuse que je double en ce moment pour qu’on les rejoigne. Il retourne à son groupe, ils sont à cinquante mètres de moi. Là je décide d’y aller et dans quelques centaines de mètres j’arrive à entrer dans le groupe. C’est vraiment une expérience à part, le meneur nous parle, nous motive et nous fait sentir qu’on constitue un groupe homogène qui va tout droit à un but commun précis. J’avais couru pendant un certain temps avec un meneur d’allure à mon marathon de Barcelone en début de mars dernier, mais là on était comme un grand groupe rassemblé par hasard, tandis qu’ici j’ai le sentiment de faire partie d’une équipe. Quand le meneur d’allure a prise une bouteille d’eau un peu plus tard, après en prendre quelques gorgées d’eau, il passe la bouteille au coureur suivant. Je n’avais pas besoin d’eau à ce moment-là , mais je prends la bouteille à mon tour juste pour participer à l'âme commune de l’équipe. Or les deux coureurs qui étaient derrière moi n’ont pas eu envie de jouer le jeu et j’ai dû jeter la bouteille après mes quelques gorgées symboliques.
Je me sens assez bien, j’ai un petit point de côté certes, mais ça ne m’empêche pas de continuer à cette allure qui me convient parfaitement. Finalement je sens cette course, on est rapide et ça me plaît vraiment. Vers le 18ème kilomètre, je sais que je pourrai finir cette compétition en 1h30m. Je me sens libéré à cette allure et c’est la période euphorique de l’épreuve.
Le meneur d’allure nous informe qu’on vient de passer le 18ème kilomètre. Juste à ce moment là je suis à la tête du groupe, à gauche du meneur. J’aperçois qu’on arrive à un virage où il faudra tourner à gauche et là sans décision réfléchie j’accélère et quitte le groupe. Bon, c’est parti et il faut l’assumer maintenant. Mais même avec cette nouvelle allure un peu plus soutenue, je me sens bien. Au moment où j’avais quitté le groupe notre allure faisait prévoir un chronomètre final d’à peu près 1h29m40s. Donc là je sais que je descendrai en dessous des 1h30m. Je continue à ma nouvelle allure jusqu’au dernier kilomètre en m’éloignant considérablement du groupe de 1h30m. J’ai un peu de mal au niveau de poitrine à un kilomètre de la fin mais ça ne m’empêche pas de persister dans mon allure. Toutefois juste à peu près à 700 mètres du point d’arrivée, la douleur s’aggrave et je me sens étouffé. Je respire très difficilement et là je me ralentis fatalement. Ma respiration ne va vraiment pas bien mais je n’ai aucune envie de m’arrêter à quelques centaines de mètres de l’arrivée. Donc je continue à une allure plus modeste tout en respirant avec beaucoup de difficulté. Là trois coureurs me doublent et cela m’agace : dans mes précédentes courses j’ai toujours été celui qui doublais les autres à la fin et maintenant je ne supporte pas l’idée de laisser passer les gens sans moindre de combat. J’aperçois finalement la ligne d’arrivée qui m’est à 150 mètres, et j’observe également l’un des coureurs qui venait de me doubler à peu près à 40 mètres devant moi. Je remarque simultanément la présence d’un coureur derrière moi qui a une folle envie de faire partie de l’équipe qui venait de me doubler. Là je décide de me réincarner : non seulement je ne veux pas me faire passer par le coureur qui me suit, mais j’ai également envie de rattraper celui qui est devant moi. Peu importe l’état de ma respiration puisque ça finira dans très peu de temps, et j’accélère de nouveau. Je rattrape celui qui était devant moi, il est grillé apparemment. Je le double en protégeant ma position par rapport au dernier prétentieux qui me suivait. Je franchis la ligne d’arrivée. J’appuie sur le bouton de mon nouveau jouet qui affiche un temps final de 1h28m26s pour mon premier semi-marathon. Bon, là je ne sens pas grande chose tout en étant conscient du fait que j’ai réussi la meilleure compétition de ma vie (toute distance confondue-enfin, ce n’était que ma cinquième compétition dans ma vie entière).
Je vais au point de ravitaillement où je prends un peu de soutien alimentaire. Je vois le coureur qui m’avait protesté pendant la course, je vais à côté de lui et on discute un petit peu. Je décide d’attendre Valessa qui avait prévu un chronomètre entre 1h50m et 1h55m en espérant de faire sa connaissance juste à la ligne d’arrivée d’une course. Je l’attends pendant quelques dizaines de minutes sans avoir le plaisir de repérer son dossard n°622*. Je pars à la salle de gymnase en ayant eu un peu froid où je m’offre une nouvelle séance de kinésithérapie. Il est tard et je n’ai plus d’espoir de me retrouver avec Valessa cette fois. Donc je quitte Ivry comme un des derniers coureurs. Je rentre chez moi en vélo à une vitesse relativement soutenue. Je suis un peu fatigué mais bien content de ma performance.
C’était la découverte de cette distance pour moi. Je l’ai bien aimé, ce n’était pas vraiment courte mais l’allure était rapide. Je ne savais pas ce que je valais actuellement et je ne connaissais pas la distance, mais je crois que j'ai pu suffisamment m'adapter à ce contexte indéterminé en écoutant mes sensations. Il est clair que la gestion d'une course est quelque chose qu’on apprend. Je me rends compte qu'au fur et à mesure que je fais des compétitions, je connais effectivement mieux les distances et que je me connais mieux moi-même.
Je sais que ce dimanche là j’ai franchi un palier en course à pied. Et je n’ai pas envie de m’arrêter ici. Affaire à suivre donc pour ceux qui n’ont pas marre de lire mes longs textes …
P.S. : Merci de votre patience.
Message édité par : Gezen / 28-04-2009 04:45
 Profil
Barbara75 6125 gniaqueur Coureuse Posté : 28-04-2009 07:33
Coucou Gezen, effectivement c'est du concentré ton compte-rendu
Mais, même si ton récit est long, je suis allée jusqu'au bout car il est prenant MERCI beaucoup
J'ai beaucoup aimé la bagarre sur les derniers mètres, tu es un vrai Guerrier
Bravo également pour ce super chrono pour un 1er semi çà promet pour les prochaines courses
Bonne récupération et soigne tous tes petits bobos
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Gezen 1442 gniaqueur CoureurVincent94 1932 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 08:50
Bravo Gezen pour ce 1e semi, pas mal du tout. Super CR.  Profil
pgaz 9068 Beer Posté : 28-04-2009 09:01
Malgré un départ un peu poussif (surement un manque d'échauffement. D'autre part, j'aurais tendance à penser qu'une séance de kiné juste avant une course, ca endort le muscle plus que ca ne le stimule), tu as réussi à bien te regler et à bien gerer ton semi. Belle perf au final. Bonne récup.
http://www.marathons.fr/
En route pour le Marathon de Saint-Petersbourg ...  Profil www
eric92 12504 propulseur Coureur Posté : 28-04-2009 09:21
Bravo Gezen, belle course et CR trés sympa.
en plus le temps est pas mal non plus (moi j'aimerai bien un jour avoir un temps comme cela, un jour peut ĂŞtre...).
Encore bravo et bonne recupération (parceque là il n'y a plus de kiné )
 Profil www
cleo 1370 gniaqueur Coureuse Posté : 28-04-2009 09:39
Je rejoins pgaz sur la kinésithérapie avant course... ça me semble pas forcément adapté...
Mais pour ta course, que ça va vite, tu as enfin pu "rentrer dans ta course" sur la fin et effectivement le plaisir arrive à ce moment là ... peut-être un peu trop donné quand même parce que à bout de souffle sur la fin.... mais ta détermination a porté...
Joli chrono  Profil
Valessa 2161 gniaqueur Coureuse Posté : 28-04-2009 09:56
bravo Gezen pour cette course parfaitement maitrisée!! pour quelqu'un qui ne n'avait pas expérimenté une telle distance, je te dis "chapeau"!!
comme tu me l'as dis,nos ressentis se ressemblent sur ce semi. moi non plus je n'étais pas dedans, sauf vers la fin! peut être que ce sont les paysages ainsi que les mauvaises odeurs sur les quais qui m'ont peu inspiré!
encore un grand grand bravo en tout cas  Profil
sehmick1 1729 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 10:45
J'ai tout lu et j'y ai pris du plaisir.
Toi qui n'était pas dedans au début, tu t'es super bien rattrapé!!
Bravo, quel temps!!!!!!  Profil
stefasn 8114 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 12:01
super temps
moi pour mon 1 er je n ai mis que ........50 mn de plus
alors Ă©norme bravo  Profil
On-Off 3189 gniaqueur Coureusehubert75003 5869 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 12:31
Pour un premier semi c'est super ce que tu as fait.
Sans tes petites gènes respiratoires tu aurais certainement fait mieux mais chapeau quand même.
Bonne récupération.
Hubert Leclercq 75003 / 80220
10 km 43'51 ; Semi-marathon 1h41'55 ; marathon : 3h49'17 ; 100 km 10h38
1 km c'est rien, 100 km c'est cent fois rien ! From Pascal75  Profil E-mail www
bubo57 1216 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 12:51
Déjà bravo pour ton récit....la longueur ne me dérange pas j'aime bien lire
Surtout lorsque c'est captivant, comme l'a été ta course.
Et c'est très intéressant ce que tu dis...qui tu démontre qu'il faut être à l'écoute de son corps en cà p. Qu'il faut être patient dans une course, qu'il faut bien la gérer.
Et enfin, tu pointes avec humour les aléas d'une épreuve.
Hormis tout ça....pour un premier semi marathon : quel chrono !
Bonne récup'
@+bubo57  Profil
soleia 47539 Ă©claireur Coureuse Posté : 28-04-2009 12:52
Hello gezen,
J'ai l'honneur de t'informer que tu as encore raté tes 10 points d'objectif
Beaucoup, beaucoup, beaucoup trop rapide sur ce coup tu as été
J'ai vraiment aimé ton récit, tout en nuances et en détails
Points MBO : 2 + 2 + 21 + 1 = 26 ---------------
Un héros, c'est celui qui fait ce qu'il peut. Les autres ne le font pas.
(Romain Rolland)
 Profil
rogers 13143 propulseur Coureur Posté : 28-04-2009 16:40
Pour un premier semi, c'est un coup de maître, quelque chose me dit que tu en a encore sous la semelle et que tu battras aisément ce super chrono. FELICITATIONS
 Profil
Loumiss 1612 gniaqueur Coureuse Posté : 28-04-2009 17:15
pour un premier
Le cr est top aussi  Profil
dide 1204 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 18:04
bravo gezen et super chrono loin tres loin de ton objectif annoncé a moisenay 1h35 je crois
j'ai adoré ton humour avec le lanceur de bouteille que tu a su eviter d'ailleur
un grand bravo pour cette magnifique course  Profil
kristof 2647 gniaqueur Coureur Posté : 28-04-2009 18:45
Superbe course que tu trés bien gérée
Avec un chrono trés correct en plus
bonne continuation et bonne rĂ©cupĂ©ration.  Profil
Valessa 2161 gniaqueur Coureuse Posté : 28-04-2009 19:11
Je suis retournée sur le site pour voir les photos. J'aurai pas pu te louper avec ton maillot orange!!!
encore bravo!  Profil
minipouce 816 meneur Coureuse Posté : 28-04-2009 21:23
Bravo Gezen, Ă©norme ton chrono avec toutes tes blessures du moment
encore un pour qui les "dernières côtes" de chez Dide ont été très profitables
j'ai bien aimé la partie du récit avec le "coureur qui se défend comme s'il était au tribunal pénal"
Bonne rĂ©cup' et au plaisir de se revoir Ă Villenne  Profil
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