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AuteurToute première fois, tou-toute première fois , lalala...
On-Off
3189     
 gniaqueur
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On-Off
  Posté : 22-06-2008 17:16

Comme dit dans la présentation je fais ma première course dimanche prochain (15km), et je "glaglate" déjà , car j'ignore comment ça se passe, pourriez vous m'en dire plus sur la manière dont l'épreuve se déroule?
Plus précisément, arriver combien de temps avant le début de l'épreuve, ce qu'on fait à ce moment là etc...
Ensuite, y a t-il des pièges à éviter , à propos d'hydratation, ou de casse croute pendant l'épreuve etc... La chaleur m'inquiète en fait, j'ai peur de craquer (il n'a fait quasiment que pleuvoir depuis 2 mois ici donc aucun entrainement en conditions réelles...) .Sûr , j'aurai la casquette...

Merci d'avance pour vos tuyaux

Nat

Nat


Rien n'est plus semblable à l'identique que ce qui est pareil à la même chose. (Pierre Dac)

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soleia
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soleia
  Posté : 22-06-2008 17:21

Sur la course, prévoir : casquette ou bandana, débardeur et short, crème solaire passée sur les parties du corps qui seront exposées.

Si les ravitaillements sont nombreux, il est peut-être inutile d'avoir ton bidon mais l'eau, même chaude, sera la bienvenue pour t'asperger lorsque le soleil cognera...

Arrivée : 30-45 minutes avant, c'est suffisant...

Départ : très prudent, surtout pas sur la ligne mais plutôt en fin de peloton. Pour ne pas se laisser aspirer par les premiers...

Dans les côtes, n'hésite pas à marcher, il faudra garder beaucoup d'énergie jusqu'au bout !!!



---------------
Un héros, c'est celui qui fait ce qu'il peut. Les autres ne le font pas.
(Romain Rolland)

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On-Off
3189     
 gniaqueur
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On-Off
  Posté : 22-06-2008 17:57

Super, merci pour tes infos Soleia!
Si je suis les indications sur l'échauffement, je dois le finir au max 10min avant le départ, j'en case un petit morceau avant de partir?
Sinon, comme j'habite à 20 min à pied en marchant du départ, il serait peut-être bien que j'y aille en petite course tranquilou ( ce sera en descente ) à 70% de la FC? Mais ça ne rentre plus dans les préconisations
Qu'en penses tu?



Nat


Rien n'est plus semblable à l'identique que ce qui est pareil à la même chose. (Pierre Dac)

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soleia
47539       
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soleia
  Posté : 22-06-2008 18:01

Honnêtement, sur ce type de course qui s'apparente plus à du trail, l'échauffement n'a pas à être poussé...
Si tu habites à 20 mn, tu y vas tranquillement à pied et, sur place, tu fais quelques petites départs en côtes, mais sans forcer

---------------
Un héros, c'est celui qui fait ce qu'il peut. Les autres ne le font pas.
(Romain Rolland)

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lacrime
6244     
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lacrime
  Posté : 22-06-2008 21:22

Je crois que Soleia a tout dit ; heureusement qu'elle répond avant moi.

Car moi ca aurait été, vas-y en courant en faisant des accélaratoins, talons-fesses, suat, pas chassés, échauffements des articulations (cou, épaules etc...en courant), vas-y 1 heure avant.
Ne perd pas de temps aux ravitaillements l'eau donné ne sert qu' a mouiller.

Part devant pour suivre les 1ers.

A suivre les conseils de Soleia.

Par contre mange bien 3 h avant pour éviter les points de côtés.


10km : 38'42"
800m : 2'26"
Championne Morbihan cross court - 3ème Morbihan cross long -
Vice Championne Morbihan sur 800m - 3ème au Championnat de Bretagne de Trail long et Vice Championne de Bretagne de Trail Long Sénior

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jackyt71
2547     
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jackyt71
  Posté : 22-06-2008 21:41

Hello,
Boire beaucoup d'eau depuis la veille de la course, jusqu'au moment du départ.

Si tu peux courir avec une petite bouteille de 30cl, n'hésites pas à la prendre. Contrairement à ce que dit Lacrime...il faut avaler de l'eau (si tu peux) et ne pas se contenter de s'arroser....sinon les autres conseils de Soleia et lacrime sont bons.

Le tout doit être testé avant la course, durant un entrainement.

Bon run et ...........à bientôt.

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lacrime
6244     
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lacrime
  Posté : 22-06-2008 21:50

Sur les courses entre 6 et 15 km je ne bois pas, après sur trail de 21 ou semi et plus je bois, va savoir pourquoi ???


10km : 38'42"
800m : 2'26"
Championne Morbihan cross court - 3ème Morbihan cross long -
Vice Championne Morbihan sur 800m - 3ème au Championnat de Bretagne de Trail long et Vice Championne de Bretagne de Trail Long Sénior

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Outlawrunner
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Outlawrunner
  Posté : 23-06-2008 08:25

Citation : lacrime 

Sur les courses entre 6 et 15 km je ne bois pas, après sur trail de 21 ou semi et plus je bois, va savoir pourquoi ???

La feuille morte voltige d'un lieu à l'autre, mais tous les lieux se valent pour elle, car son unique patrie est dans le vent qui l'emporte. 


Normal!
On t'a jamais servi de pinard sur les courses de 6 à 15km..
Car sinon, tiens! on verrait bien si tu touches pas à la boisson..

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madie
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madie
  Posté : 23-06-2008 09:02

Mais Lacrime tu fais 15 km quand certains d'entre nous en bouclent difficilement 8, c'est pour ça que tu n'as pas besoin de boire!

On-Off: Tous les conseils t'ont été donnés, mais pour la chaleur j'insiste aussi, arrête toi à tous les ravitaillements pour boire quelques gorgées (pas trop non plus) fais attention si l'eau est glacée car ça peut donner des mots de ventre.

Qui va doucement, va sûrement, surtout quand on n'a pas le choix!

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lacrime
6244     
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lacrime
  Posté : 23-06-2008 09:35

Comme dit Madie attention à l'eau glacé, en général, je dis bien en général, quand il fait chaud l'eau donné est chaudé puisqu'elle est stocké pas loin mais bon on ne sait jamais.

Je me souviens le 31/12/07 à la Corraida de Vannes nous avons eus de l'eau qui était à la même température que l'air soit 2/3 °c


10km : 38'42"
800m : 2'26"
Championne Morbihan cross court - 3ème Morbihan cross long -
Vice Championne Morbihan sur 800m - 3ème au Championnat de Bretagne de Trail long et Vice Championne de Bretagne de Trail Long Sénior

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On-Off
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On-Off
  Posté : 23-06-2008 11:36

Hello!
Pour ce qui est de boire de l'eau pndant la course, j'avais entendu sur France Inter (je suis également intoxiquée par la radio! lol) par un spécialiste qu'il n'était pas utile de boire en deçà d'une heure d'activité physique. Pour moi ce sera donc obligatoire puisque je serai largement au dessus de l'heure et demie , je verrai suivant la chaleur comment ça se passe , mais ce sera sûrement une goulée, pas plus.

Tous les conseils t'ont été donnés, mais pour la chaleur j'insiste aussi, arrête toi à tous les ravitaillements pour boire quelques gorgées (pas trop non plus) fais attention si l'eau est glacée car ça peut donner des mots de ventre.
J'aime ta faute d'orthographe, Madie et je ferai attention, mon ventre m'a suffisamment parlé cet hiver pas envie qu'il ne me parle à nouveau, même si c'est peu probable (et je poserai la question à l'asso des commerçants du coin, ce sont eux qui ravitaillent)

... Je pense emmener du miel bio que j'aurai emballé à l'aide de mon mon "soud'sac" (pas envie de payer des tubes qui valent une fortune , pis je suis trop loin des supermarchés) , pensez vous que ça vaut le coup d'essayer ? Ca vaut bien toutes les préparations que l'on trouve dans le commerce?

En tout cas merci à tous et toutes pour vos conseils, j'en prends un peu de chaque! lol



Nat


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soleia
47539       
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soleia
  Posté : 23-06-2008 11:42

Je rebondis juste sur l'avis donné par le spécialiste de France Inter...
Pfffff
Il n'est pas utile de boire de l'eau en-deça de l'heure d'effort lorsque la température extérieure est clémente.

Mais va courir comme j'ai couru hier par 40 degrés au soleil et tu verras que tu as déjà soif au bout de 1 km !

Pour le dosage miel/eau, pourquoi pas.. tant que tu y es, rajoute une pincée de sel.
Par fortes chaleurs, le sel permet de se déshydrater un petit peu moins

---------------
Un héros, c'est celui qui fait ce qu'il peut. Les autres ne le font pas.
(Romain Rolland)

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herve03
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herve03
  Posté : 23-06-2008 11:44

Les tubes de D4 sont bien et pas chère.

Mais tubes et chaleur ne font pas bon ménage.

Autrement, abricot sec, ça va.




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On-Off
3189     
 gniaqueur
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On-Off
  Posté : 23-06-2008 12:04

Ben D4 c'est trop loin , mais j'y penserai pour la prochaine fois, je vais tester différents contenants voir lequel est le plus pratique.
Abricots secs, j'ai ça et ça devrait pouvoir se glisser dans la mini poche du corsaire... je note!

Pour revenir à ces tubes, j'ai crisé il y a qq temps en faisant une partie du parcours de la compète
Pardon, du 29 juin en entrainement et j'ai carrément écrit pour râler gentiment auprès des organisateurs ( ils n'ont même pas répondu d'ailleurs...). Un mois avant , il y avait déjà des tubes qui jonchaient le parcours, ça me fait hurler!
Si les gars ont la place pour les emmener, ils peuvent bien les remmener, nan?
Je pense qu'après la course il doivent nettoyer et ça ne me pose pas de pb, mais bon, je trouve ce type de comportement en dehors d'épreuve inadmissible ...Bon j'ai fini de râler...

Nat


Rien n'est plus semblable à l'identique que ce qui est pareil à la même chose. (Pierre Dac)

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Outlawrunner
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 gniaqueur
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Outlawrunner
  Posté : 23-06-2008 12:27

Il faudra dire à l'animateur de France Inter de changer de métier pour commencer, ou qu'il aille dire ses âneries sur des sites "people "

Ou il peut aller à la pêche..! Voire aller chez les Grecs...!

Il peut aussi venir lire les articles sur la déshydratation sur PCAP, il y a de nombreux articles dédiés à ce sujet dans " Articles CAP "

Voici un rappel:

Quand les muscles travaillent, le corps a chaud. Alors, nous nous mettons à suer, certains comme des fontaines ambulantes. Nous suons pour nous refroidir. La goutte de sueur arrive sur la peau à la même température que celle du corps, soit 37 C et plus. Au contact de l'air ambiant, moins chaud que le corps (disons qu'il fait 28-C), la sueur s'évapore, ce qui refroidit la peau. Cet ingénieux système assure plus de 80 % de notre refroidissement lorsqu'on pratique une activité physique.

Le problème, c'est que plus il fonctionne, plus on perd de l'eau. On peut perdre ainsi plus de deux litres de sueur à l'heure pendant une activité d'endurance telle qu'un marathon ou encore une randonnée cycliste à bonne vitesse. Dans ces conditions, on se déshydrate en peu de temps puisque le corps est constitué de 60 % d'eau !

Or, ce liquide précieux joue un rôle de premier plan en hydratant les cellules, en maintenant la température corporelle, en facilitant l'élimination des déchets du métabolisme et même le travail du coeur. «il faut savoir que, pour chaque litre de sueur perdue et non remplacée, le pouls augmente d'environ huit battements à la minute. En fait, une perte correspondant à 2 % du poids corporel, l'équivalent de 1,5 litre d'eau pour une personne de 75 kg, affecte déjà votre rendement musculaire et engendre une fatigue précoce. Ce sont, d'ailleurs, avec une urine jaune foncé et une forte sensation de chaleur, les premiers signes de déshydratation.

Si l'on continue à perdre de l'eau sans la remplacer, le corps se protège en ralentissant la production de sueur. Résultat : on a de plus en plus chaud et la température du corps ne cesse de monter.

Dans les cas extrêmes (rares heureusement), lorsque plusieurs litres d'eau ont été perdus et non remplacés, c'est le volume sanguin qui se met à diminuer puisqu'il contient 70 % d'eau ! Il y a donc moins de sang en circulation. La quantité de sang pompé par le coeur (débit cardiaque) diminue, provoquant une hausse marquée de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle afin de compenser le faible débit cardiaque.

À ce stade de déshydratation et si l'exercice se poursuit, le mécanisme même de la sudation risque de se dérégler, entraînant à la hausse la température corporelle. Autour de 41 C, la situation devient critique : la personne, d'abord confuse, finit par délirer et tomber dans le coma. C'est le coup de chaleur.

Si on n'intervient pas rapidement pour refroidir la personne en état de surchauffe, la mort s'ensuit.

Par temps chaud et humide : attention !
Boire est important lorsqu'on fait beaucoup d'exercice. Mais par temps chaud et humide cela ne suffit pas ! C'est que plus l'air est humide, donc chargé en vapeur d'eau, moins le mécanisme d'évaporation de la sueur est efficace. À la limite, lorsque le taux d'humidité frise les 100 %, le fait de suer ne sert plus à rien puisqu'il n'y a plus d'évaporation. La sueur ne fait que ruisseler sur le corps en pure perte.

Dans le désert, où il fait pourtant plus chaud (40C et plus), on se sent mieux parce que la sueur s'évapore rapidement étant donné que l'air désertique est sec (moins de 10 % d'humidité).

Est-ce à dire que par temps chaud, il faut éviter l'activité physique ? Non. Mais il y a des précautions à prendre pour empêcher la déshydratation et éliminer tout risque de coup de chaleur. Les voici.

Avant l'activité physique
Si vous prévoyez faire une séance d'activité physique d'intensité modérée à élevée pendant au moins 30 minutes, soyez astucieux; faites le plein d'eau avant de lancer vos moteurs musculaires. C'est ce que les experts appellent la « préhydratation », un rituel rigoureusement appliqué par tous les grands sportifs. En conséquence, deux ou trois heures avant votre séance d'exercice, buvez environ un demi-litre d'eau ou d'une boisson désaltérante (boisson de récupération de type Gatorade ou Powerade, jus, lait, etc.) Évitez le café, le thé et colas parce que ces boissons accélèrent la formation d'urine et donc la perte d'eau. Puis, de 10 à 15 minutes avant de commencer votre activité physique, buvez un autre verre (250 ml) d'eau.

Portez ce jour-là des vêtements légers, poreux comme par exemple le polypropylène (il n'emprisonne pas la chaleur et l'humidité) et de couleur claire (blanc, beige, jaune... ). Un chapeau ou une casquette de couleur claire est également à prévoir si le soleil est au rendez-vous.

Pratiquez, si possible, votre activité tôt le matin ou en fin de journée.

Pendant l'activité physique
Si votre activité dure plus de 30 minutes, buvez de petites quantités d'eau (l'équivalent d'un petit verre) toutes les 20 minutes. Il est préférable de boire de petites quantités à intervalles courts plutôt que l'inverse. L'eau reste ainsi moins longtemps dans l'estomac, ce qui hydrate plus rapidement votre organisme.

Après 60 minutes d'exercices, les muscles commencent à manquer de sucre, leur principale source d'énergie. Fatigue en vue ! Dans ce cas, buvez un liquide légèrement sucré; vos muscles retrouveront leur tonus. La mention « légèrement sucrée » est importante.

Il a été démontré qu'une boisson contenant de 4 % à 6 % de sucre ( 4 à à 6 g par 100 ml) favorise une absorption idéale par l'estomac à la fois du liquide et du sucre. À éviter donc les boissons trop sucrées tels les colas et autres boissons gazeuses : le système digestif met du temps à les assimiler.

Pour connaître le contenu en sucre d'une boisson, divisez le nombre de grammes de sucre (où glucides) indiqué sur l'étiquette par le nombre de millilitres du contenant et multipliez pas 100. Par exemple, si un contenant de 250 ml de la boisson X contient 15 g de glucides, cela donne 6 % de glucides (15 divisé par 250, puis multiplié par 100).

Une suggestion : pourquoi ne pas concocter vous-même votre propre boisson de récupération ? Voici une recette éprouvée qui ne vous coûtera presque rien : dans un peu d'eau tiède, mélangez 60 g (environ 4 cuillerées à soupe) de sucre ou de miel, une pincée de sel (des études récentes indiquent que le sel favorise l'absorption de l'eau) et, pour le goût, quelques gouttes de citron ou de lime. Remuez bien puis ajoutez un litre d'eau glacée. Si vous voulez mettre un peu de couleur à votre boisson, ajoutez quelques gouttes de colorant à gâteau. Vous pouvez faire aussi un moitié-moitié, c'est-à-dire mélanger 500 ml l'eau avec 500 ml de jus d'orange non sucré. Ajoutez à ce mélange une ou deux cuillerées à soupe de sucre. Vous obtenez ainsi environ cinq portions de 200 ml.

Si vous êtes une personne qui sue abondamment pendant un exercice, vous perdez alors aussi un peu de sel, car la sueur est légèrement salée. Par temps chaud et humide, vous en perdez encore plus. Par exemple, dans ces conditions, une personne physiquement active peut perdre de 13 à 17 g de sel, soit quelque 8 g de plus de ce que fournit l'alimentation. Solution : ajoutez une pincée ou deux de sel dans votre boisson de récupération.

Par temps humide toujours, réduisez l'intensité et la durée de vos efforts physiques étant donné la difficulté pour l'organisme de dissiper la chaleur produite dans ces conditions. Un truc: aspergez-vous régulièrement d'eau, surtout sur la tête, puisqu'elle est responsable de 30 % à 40 % des pertes de chaleur du corps. L'eau de ces minidouches vient remplacer la sueur dans le processus de refroidissement par évaporation, ce qui ralentit la perte d'eau par transpiration.

C'est d'ailleurs pour cette raison que l'on arrose copieusement les marathoniens. Et s'il fait très chaud et, surtout, très humide, n'hésitez pas; choisissez la piscine ou le lac, c'est le choix le plus rafraîchissant.

Après l'activité physique
Après un exercice prolongé, il faut encore boire de l'eau. Pour savoir combien vous devriez en boire, estimez votre perte en eau en vous pesant avant et après la séance d'exercice. Une perte de poids de 500 g signifie que vous avez perdu approximativement 500 ml d'eau. Vous pouvez aussi vous fier à la couleur de votre urine; quand elle redevient claire, c'est que vous êtes bien hydraté.

Enfin, si vous aimez prendre de la bière pour vous désaltérer après une séance d'exercice, commencez d'abord par boire deux ou trois verres d'eau pour vous réhydrater. La bière, comme tout alcool, est diurétique (elle accélère la formation d'urine) ; vous pensez faire le plein de liquide avec la bière alors qu'en fait vous en perdez.

France Inter du même niveau de France Bleue?
Dans tous les cas, TV et radios se valent pour ce qui est de la C........................!



Message édité par : Outlawrunner / 23-06-2008 12:27


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soleia
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soleia
  Posté : 23-06-2008 12:30

Pour rajouter à l'article de outlaw...

Hier, ce ne sont pas des "goulées" que je buvais, mais des gobelets entiers.

A l'avant-dernier ravitaillement, j'ai avalé 2 gobelets et je me suis renversée un quart de litre sur moi.

PS : je précise que nous n'étions plus que 3 sur le parcours, je ne risquais donc pas de priver d'eau un concurrent !!!!

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(Romain Rolland)

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Outlawrunner
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Outlawrunner
  Posté : 23-06-2008 12:31

2e couche:


Notre corps a besoin d’eau

Un manque de liquide tend constamment à s’établir dans l’organisme. Chaque jour notre organisme rejette de l’eau sous forme d’urine, de sueur, de vapeur d’eau (par les poumons) et de liquide dans les selles. Ces éliminations s’élèvent à 2,5 litres par jour. Lorsque des apports équivalents de liquide ne viennent pas compenser ces pertes, un état de déshydratation s’installe.

La déshydratation de l’organisme est un processus qui peut se dérouler très rapidement. Si les êtres humains peuvent survivre à d’assez longues périodes de privation de nourriture (jusqu’à six semaines ou plus, comme en témoignent les jeûnes thérapeutiques), il n’en va pas de même avec une privation totale de liquide. Trois jours sans boisson ni eau alimentaire (l’eau contenue dans les aliments) engendrent déjà de graves défaillances organiques. Deux ou trois jours de plus conduisent à la mort.

Ayant généralement toujours de l’eau à disposition en abondance, l’homme ne pense pas combien bref est le laps de temps pendant lequel il peut se passer d’eau et, par conséquent, combien court est le chemin vers la déshydratation et la mort.

Bien que la soif lui indique quand et combien boire, l’homme d’aujourd’hui n’absorbe pas toujours autant de liquide que nécessaire pour bénéficier d’une santé et d’une vitalité optimum. Le déficit hydrique n’est pas suffisant pour entraîner la mort, mais tout de même assez important pour attenter à sa santé. Ainsi, comme une plante qui flétrit et dépérit par manque d’eau, l’homme atteint d’une déshydratation partielle perd ses forces et tombe malade. Malheureusement, les troubles qui en résultent ne sont souvent pas reconnus comme tels.

La déshydratation générale de l’organisme va engendrer deux grandes perturbations métaboliques qui seront à l’origine de tous les troubles de déshydratation. Ces deux grandes perturbations sont le ralentissement enzymatique et l’auto-intoxication.

Le ralentissement enzymatique

Le rôle des enzymes est de réaliser la multitude des transformations bio-chimiques nécessaires au fonctionnement organique. Pour leur activité, elles ont besoin, entre autre, d’un environnement richement pourvu en eau, afin de disposer d’un vaste espace dans lequel travailler. En effet, plus le milieu dans lequel agissent les enzymes est encombré par d’autres enzymes, ainsi que par toutes les substances sur lesquelles elles agissent ou qui résultent de leur activité, plus les enzymes ont de la peine à faire correctement leur travail. Elles travaillent donc d’autant plus mal que les liquides organiques sont épais, concentrés, autrement dit qu’ils ont une viscosité élevée. Or, une haute viscosité est justement la caractéristique qu’acquiert les liquides lors de la déshydratation

Le ralentissement enzymatique finit donc par paralyser tout vie organique, puisque la production d’énergie, d’hormones, de substances réparatrices, etc. nécessaires à la bonne marche de l’organisme décroît progressivement.

L’auto-intoxication

Le deuxième grand problème auquel le corps est confronté lors de la déshydratation est celui de l’auto-intoxication.

Chaque jour, les cellules produisent des déchets et résidus métaboliques. Or, le support essentiel des déchets à évacuer est l’eau : la sueur est en effet composée à 99% d’eau, l’urine à 95%, l’air expiré et les selles à 80% environ.

Les éliminations ne cessent cependant pas lorsque le corps ne dispose pas d’autant de liquide que ce qui lui serait nécessaire. Elles continuent à se faire, mais avec une quantité de liquide plus réduite. Les urines deviennent plus rares et épaisses, la sueur plus concentrée et les selles sèches et dures. Dans ces conditions, l’élimination des toxines se fait alors forcément moins bien. Les déchets commencent à s’accumuler dans les émonctoires, à se déposer sur les parois des vaisseaux et à congestionner les organes. Le taux de toxines dans le sang et les sérums cellulaires augmente. Tous ces facteurs contribuent à l’auto-intoxication de l’organisme, auto-intoxication qui est considérée en médecine naturelle comme le point de départ de toutes les maladies.

A eux deux, le ralentissement enzymatique et l’auto-intoxication engendrent tous les troubles caractéristiques de la déshydratation.

Lorsque l’on parle de déshydratation, la plupart des gens ne se sentent pas concernés. Ils ne pensent qu’à la déshydratation rapide et intense qui frappe en un jour ou deux les voyageurs égarés dans le désert. Il existe cependant une autre sorte de déshydratation, une déshydratation que l’on pourrait appeler chronique, car elle n’a pas le caractère brusque et intense de celle mentionnée à l’instant. La déshydratation chronique est très répandue de nos jours et touche toutes les personnes qui ne boivent pas assez.

Les troubles qui en résultent ne sont pas aussi marquants que dans la déshydratation aiguë, mais ils n’en existent pas moins. Parmi ceux-ci on compte la fatigue et le manque chronique d’énergie, la constipation, certaines hypertensions artérielles, des gastrites, des ulcères d’estomac, l’excès de poids, de nombreux eczémas, l’hypercholestérolémie, une partie des infections urinaires, des rhumatismes, etc. (des causes très diverses pouvant engendrer une même maladie, les troubles mentionnés à l’instant ne sont pas exclusivement dus à la déshydratation chronique).

Deux exemples de troubles dus à une déshydratation chronique

Fatigue, manque d’énergie

La déshydratation des tissus ralentit l’activité enzymatique, par conséquent également les enzymes actifs pour la production d’énergie. Cette production peut être si basse dans les cas de déshydratation aiguë que la personne qui en est atteinte ne peut plus se tenir debout. Elle demeure étendue, sans bouger, dans un état de somnolence ou d’inconscience.

Sans aller jusque là, la déshydratation chronique n’en engendre pas moins une sensation de fatigue et de lassitude chronique. Par répercussion sur le niveau psychique, l’entrain au travail et la joie de vivre font également souvent défaut.

Or, si une personne dans une telle situation boit à nouveau suffisamment d’eau, cela lui redonne de l’énergie. Les apports généreux d’eau relancent en effet l’activité enzymatique, d’où le retour à un niveau énergétique plus élevé. Un regain de forces et d’élan est d’ailleurs un des effets mentionnés par la plupart des gens qui augmentent leur consommation d’eau pour la ramener vers la normale.

Constipation

Lorsque le bol alimentaire pénètre dans le colon, il contient encore trop de liquide pour que les selles puissent se former correctement. L’eau excédentaire est donc absorbée par les parois du colon afin de diminuer cette teneur. Le prélèvement de liquide se fait jusqu’à ce que les selles acquièrent leur consistance normale, celle qui permet une évacuation aisée de celles-ci. Dans la déshydratation chronique cependant, le prélèvement de liquide peut devenir excessif.

L’organisme ne recevant pas assez de liquide de l’extérieur, il va chercher a en obtenir par tous les moyens possibles. Un des moyens dont il dispose consiste à en retirer dans une partie du corps pour le mettre à disposition d’une autre partie. Dans le cas qui nous occupe, le corps retirera des selles plus d’eau qu’il ne le fait habituellement. Celle-ci deviendront alors sèches et dures, et s’élimineront mal. Bien des problèmes de constipation se résolvent par une augmentation importante du volume d’eau bue quotidiennement.

La soif

La sensation de soif est le moyen qu’utilise l’organisme pour éviter la déshydratation. Elle est un signal d’alarme qui se manifeste chaque fois que le corps commence à manquer d’eau. La soif pousse d’ailleurs non seulement à boire, mais à boire autant que nécessaire pour corriger le déficit hydrique.

La sensation de soif est donc proportionnelle au déficit : petite, si le manque d’eau est limité ; grande si le déficit est important. Non étanchée, la soif augmente avec le temps, car même lorsque le corps manque d’eau, il continue à en perdre pour éliminer les toxines et régler sa température (perspiration).

La soif se manifeste au niveau de la bouche et non de l’estomac ou du ventre. Elle se caractérise par une sécheresse buccale et une désagréable sensation de constriction du pharynx, de la glotte et de la langue.

Dès que l’on a bu la quantité de liquide nécessaire pour combler le déficit, la sensation de soif disparaît. Jusqu’à ce que le déficit ait été comblé, même une consommation importante d’eau en un temps très court ne provoquera pas de diurèse comme elle le fait en temps normal avec une telle quantité. La diurèse ne survient qu’à partir du moment où l’eau bue dépasse les besoins.

La sensation de soif étant un signal d’alarme donné par le corps, il devrait être perçu par tout un chacun. Il existe cependant des personnes qui ne ressentent que rarement le besoin de boire. Interrogées à ce sujet, elles déclarent ne jamais avoir soif, par conséquent, ne pas boire grand chose.

Il y a deux causes principales à la perte de la sensation de soif.

La première est l’absence répétée de réaction face aux signaux d’alarme de la soif. Lorsque régulièrement une personne ne boit pas alors que la soif la pousse à le faire, la sensation de soif se modifie. Avec le temps, elle s’atténuera. Les désagréments qu’elle engendre : bouche sèche, constriction du pharynx, … ne se font plus ressentir avec autant d’acuité.

Le processus est similaire à celui qui a lieu avec les personnes qui portent souvent des plats chauds, comme les cuisiniers. Ne réagissant pas aux sensations de brûlures qui agressent leurs mains, ces dernières s’habituent à la chaleur. Avec le temps, elles deviennent même capables de supporter des températures très élevées.

Dans le cas qui nous occupe, la personne qui boit peu tolère de mieux en mieux la soif et ne perçoit plus aussi fortement les signaux d’alarme donnés par le corps. Ce qui vient d’être dit n’est cependant vrai que pour la sensation de soi et non pour ses conséquences : ces personnes souffrent inévitablement de déshydratation chronique, malgré leur absence de soif.

La perte de la sensation de soif est rare chez les enfants, relativement répandue chez les adultes et fréquente chez les personnes âgées. Ces dernières peuvent tout à fait avoir la bouche sèche et ne pas désirer boire. Ni même ressentir qu’elles devraient boire.

La deuxième raison pour laquelle la sensation de soif peut se perdre résulte d’une confusion entre soif et faim. Bien que distinctes, ces deux sensations sont parfois confondues. Or, si quelqu’un calme régulièrement sa soif en mangeant, la sensation de soif s’atténuera ou ne sera plus perçue comme telle.

Heureusement, comme toute fonction physiologique, la sensation de soif endormie peut être réveillée. Il suffit que la personne qui boit peu se force à boire normalement, même si elle n’a pas soif. Après quelques jours, elle pourra alors constater avec surprise, combien elle a soif, malgré tout ce qu’elle boit !

Que boire ?

Il a été dit que le corps humain a besoin d’apports quotidiens et généreux de liquide pour fonctionner correctement et éviter la déshydratation. Mais de quel liquide s’agit-il ? Toutes les boissons sont-elles d’égale valeur ? Quelles sont les caractéristiques que doit posséder une boisson pour être bénéfique physiologiquement ?

Différentes caractéristiques sont nécessaires. Elle doit être facilement assimilable pour le tube digestif et traverser aisément les parois des capillaires et des membranes cellulaires. Elle doit également ne pas présenter d’inconvénients lorsqu’elle est bue régulièrement et en quantité importante ; par exemple : écœurer par son goût, perturber les digestions, stimuler avec excès le transit intestinal, avoir des effets trop calmants, etc. Ces inconvénients pourraient en effet pousser à arrêter la consommation de la boisson, avant que les besoins en liquide ne soient couverts.

Le liquide qui répond le mieux à toutes ces impératifs est sans conteste l’eau, la simple eau potable. L’eau est en effet la boisson de base de l’être humain, parce que c’est celle qui lui est offerte par la nature.

Sont également des boissons bénéfiques pour réhydrater l’organisme, les infusions de plantes non sucrées (menthe, tilleul,..) ainsi que les jus de fruits et de légumes (ceux-ci ne peuvent cependant pas êtres bus en grande quantité).

Les boissons peu hydratantes sont par contre le café, le thé, les limonades industrielles et les boissons alcoolisées. Pour illustrer pourquoi une boisson peut avoir des effets « peu hydratants », prenons l’exemple des limonades industrielles.

Les limonades industrielles sont composées d’eau, de sucre blanc raffiné ou de sucre artificiel (aspartame par exemple), d’arôme, d’acides, de colorants et, pour celles à base de cola, de caféine (issue des noix de cola).

Les boissons à base de cola sont les plus vendues, par conséquent, également les plus bues. Cela signifie que la majeur partie des gens qui cherchent à étancher leur soif avec des limonades, le font avec une boisson qui, à cause de sa teneur en caféine leur fait perdre de l’eau. La caféine a en effet des propriétés diurétiques puisqu’en élevant la tension sanguine, elle intensifie la production et l’élimination d’urine.

L’eau consommée avec ces boisson traversera par conséquent trop vite l’organisme. A peine entrée dans le courant sanguin, elle sera en partie éliminée par les reins et n’aura pas le temps de gagner le milieu intra-cellulaire.

Le caractère peu hydratant des limonades industrielles provient également de leur forte teneur en sucre. Cette teneur se situe à environ 10% du poids de la boisson, ce qui veut dire que chaque litre de limonade contient 100 g de sucre. S’il s’agissait de sucre naturel, son utilisation serait aisée et ne causerait aucun problème à l’organisme. Mais puisqu’il s’agit de sucre blanc raffiné, le corps a beaucoup plus de peine à le métaboliser correctement. Le glucose issu du sucre blanc pénètre en effet trop rapidement et massivement dans le sang. Cette forte concentration de sucre élève brusquement la pression osmotique du sang. Pour la corriger, le corps devra donc céder de l’eau en provenance du sérum extra-cellulaire. On se trouve ainsi dans une situation déconcertante puisqu’un apport de liquide (la limonade) entraîne un prélèvement de liquide !

Mais l’effet déshydratant des limonades ne s’arrête pas là. Le prélèvement de sérum extra-cellulaire engendre une soif. Si, pour y répondre, une nouvelle ration de limonade est consommée, du sérum extra-cellulaire sera à nouveau prélevé, accentuant encore la déshydratation. La soif plus intense qui en résultera étant la plus souvent comblée avec une limonade supplémentaire, un véritable cercle vicieux s’installe, car la soif est entretenue par le breuvage censé la faire disparaître.

Il est aisé de constater que les limonades ont un effet déshydratant pour l’organisme : les buveurs réguliers de ces boissons ont toujours soif. N’étant jamais vraiment désaltérés par ce genre de boisson, ils doivent constamment boire à nouveau.

En conclusion, à cause de ses propriétés, l’eau est la boisson la plus à même d’hydrater correctement l’organisme. La majeure partie du liquide que boit quotidiennement l’être humain devrait donc être constituée d’eau. Les autres boissons, même celles qui sont peu hydratantes, peuvent bien sûr également être consommées, mais en étant conscient qu’elles ne remplacent pas la prise de liquide sous forme d’eau.



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lacrime
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 gniaqueur
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lacrime
  Posté : 23-06-2008 16:30

Un truc à faire.

Se peser avant une course ou un entrainement et après.
A chaque 500g de perdu il faut boire 500ml.

Car souvent et beaucoup se disent j'ai perdu tant de calories mais c'est de l'eau en fait.

Malgrés un sac de raid avec 2l bu sur 38km je peux revenir de courir avec 1kilo en moins alors buvez...au délà de l'heure moi ca me va.


10km : 38'42"
800m : 2'26"
Championne Morbihan cross court - 3ème Morbihan cross long -
Vice Championne Morbihan sur 800m - 3ème au Championnat de Bretagne de Trail long et Vice Championne de Bretagne de Trail Long Sénior

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madie
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 gniaqueur
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madie
  Posté : 23-06-2008 16:42

mots de ventre

c'est plus un lapsus qu'une faute d'orthographe:
même en me relisant je ne l'avais pas vu!

Qui va doucement, va sûrement, surtout quand on n'a pas le choix!

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On-Off
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 gniaqueur
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On-Off
  Posté : 23-06-2008 20:07

Oups...OK Outlaw, j'ai compris la leçon , je serai vigilante même si en montagne il fait moins chaud que sur lacôte
Soleia, moi qui craint la chaleur, je n'aurais jamais pu faire ce que tu as fait, chapeau!



Nat


Rien n'est plus semblable à l'identique que ce qui est pareil à la même chose. (Pierre Dac)

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