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Vous avez sans doute déjà rencontré des gens comme çà... des personnes très fières... qui ont chopé le melon : la grosse tête quoi !
Si on s'amuse à faire la comparaison avec le fruit, c'est bien marrant.
En effet, ce qui va suivre sort du dico et je n'invente rien. Par exemple :
- Le melon cultivé appartient à la sous-espèce Cucumis melo. En fait, ce sont des gens un peu cucu.
- Le fruit sauvage d'origine ne dépassait pas 30 à 50 g. Cela doit être le poids du cerveau.
- Le melon fleurit tout l'été de mai à septembre. C'est la période où il y a pas mal de courses.
- La cavité centrale, fibreuse, renferme de nombreux pépins. Quand on les entend parler, on espère qu'ils en aient des pépins, tiens !
- le melon a tendance à s'étaler. Alors là, génial. Ben, oui car çà y va les ragots et les "j'ai fait cette course et pas toi", " T'as fait que ce temps là toi ??? ", etc .
- La France en produit environ 300 000 tonnes : Allez, si on se dit que le poids moyen d'un coureur est de soixante dix kilos, çà en fait... hein !!!!!!!!!!!!!!!
- Le melon se conserve mieux dans un placard ou une cave fraîche qu'au réfrigérateur. Encore une fois, je trouve que ce serait pas mal çà pour garder l'esprit sportif à chaque fois qu'on discute avec un passionné de course à pied.
- Le Melon cantaloup est en général un bon laxatif. En fin de compte quand on en rencontre, ils nous font bien C...R.
En tout cas, sachez que sur ce site, je n'en ai pas encore rencontré et heureusement car franchement ce n'est pas du tout notre façon de penser "course à pied". Courir pour le plaisir, c'est le principal ! N'est-ce pas ?
« pour bien faire, il faut en un mot : endurer la souffrance ».
Ne pas accepter de souffrir est mauvais. C’est un principe qui ne souffre aucune exception. Maître Ittei