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Chester Anthony : La mode des cocktails avant les repas a été lancée par un cuisinier qui avait brűlé le rôti.
Pascal75 3467 gniaqueur Coureur Posté : 03-09-2010 19:35
Pcap -: CR de Course :- Nom de la course 100 km des étangs de Sologne - Edition du 28/08/2010 (version Pascal75) Type de course -: Course sur route Objectif -: Atteint Déjà courue -: Non Parité respectée -: Ne sais pas Bref résumé de la course.Taper ici votre bref résumé,
puis valider.
Pour saisir votre CR en entier ,
répondre de suite à votre résumé.Aucune image ne doit être insérée dans ce bref résumé !!! Que du bonheur ! Inclure la signature true ..::..
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Pascal75 3467 gniaqueur Coureur Posté : 03-09-2010 19:35
Mon dernier objectif 2010
A force d’en vouloir toujours plus, on se casse la figure. Je savais bien qu’un jour ou l’autre une contre performance arriverait… Aligner des records perso à chaque sortie, ça ne dure qu’un temps. Et bien entendu, ce jour là , la chute n’en est que plus dure.
Mais au moins, ça a eu le mérite de me remettre à ma place. Alors, après ma déception de Villennes, j’ai décidé dorénavant de courir 2 ou 3 objectifs dans l’année et de prendre un maximum de plaisir sur les autres épreuves en compagnie des membres du site.
Pour terminer la saison, je me suis fixé un ultime défi : Le 100 km des Etangs de Sologne.
Après deux mois de préparation, aidé d’un plan d’entraînement confiné par Laurent (Runner68) je me retrouve ce vendredi 26 Août en gare de Theillay, munis d’un matelas gonflable, de mon duvet et de mon sac de sport. C’est une grande première pour moi : C’est la première fois que je voyage si loin, tout seul, pour une épreuve d’ultra. J’ai l’impression de partir à l’aventure.
Arrivé au Foyer rural de la commune, je découvre les organisateurs en pleine effervescence, tous occupés à préparer la grande course du lendemain. J’apprends par la même occasion, que c’est une répétition générale en vu des championnats de France 2011.
Je récupère mon dossard, et patiente que l’on m’ouvre la porte du gymnase qui va servir de dortoir. En attendant, je réponds aux textos des membres Pcap qui m’adressent des messages d'encouragements. Je m’installe enfin dans la salle, relativement inquiet car ici, les averses se multiplient avec un vent fort violent.
Le temps reste menaçant toute l’après midi.
En fin d’après midi, je retrouve l’ami Laurent. Nous profitons d’une belle éclaircie pour aller boire une petite mousse à la terrasse du café local. Ensuite, direction la salle commune pour prendre part à la Pasta-party. Je suis bien content de ne pas être seul, car tout le monde a l’air de se connaître, et j’ai l’impression d’être un simple terrien sur une planète d’extras-terrestres.
Après une balade digestive, il est temps pour moi, de rejoindre le dortoir improvisé pour, comme dit mon pote, « mettre la viande dans le torchon ! ». Le sommeil est dur à trouver. La porte bruyante du gymnase s’ouvre et se ferme sans cesse. Des jeunes avec leurs mobylettes trafiquées tournent sans arrêt autour de la salle, et quand le silence se pointe enfin, c’est le ronflement de quelques centbornards qui prend le dessus… Au début, j’ai cru que Francine avait débarqué à Theillay pour me faire une surprise comme à Belvès…
A 4h00, le bi-bip d’une montre se fait entendre. Les lampes de poches s’allument, et des matelas commencent à se dégonfler.
Je me lève une heure plus tard et retrouve Laurent qui me raconte ses déboires de la veille (Voir son CR)… Le kéké de première et moi allons ensuite prendre notre petit déjeuné, puis nous préparer.
Sur les conseils de Marc, je me suis acheté un maillot de contorsion hyper moulant pour éviter les frottements sur ma poitrine afin d’empêcher les saignements qui me gâchent la vie depuis quelques courses.
L’heure du départ arrive vite. L’anxiété monte jusqu’au coup de feu. Il fait encore nuit, mais la température est idéale pour courir… Après deux mois de préparation, 680kms dans les jambes, et quelques nuits blanches, j’y suis enfin !
Le depart… Et oui Pgaz, c’est bien moi en rouge au fond.
Placé à l’arrière du peloton aux cotés de Laurent et d’Olivier, un ami de Francine et membre kikourou, nous sortons de Theillay. Je cours immédiatement sur une base prévisionnelle de 5’50 que j’espère tenir le plus longtemps possible. C’est un rythme trop lent pour Laurent qui va me fausser compagnie dès les premiers kilomètres. Nous nous souhaitons bonne course et le kéké extra-terrestre prend la poudre d’escampette.
Avec Olivier, nous discutons course à pied. On se balance nos anecdotes de course, nos joies, nos doutes… C’est qu’il a une sacré bagout le kikourou !
Depuis un moment, je me sens suivi. Je me retourne et aperçois une jeune femme qui me semble bien esseulée. Je lui demande si tout va bien, et elle me répond que notre allure lui convient parfaitement et qu'elle nous suit depuis le départ. Olivier lui demande de se joindre à nous, et la féminine accepte volontiers. C’est ainsi que nous faisons la connaissance de Cécile Lavigne… Originaire de la région parisienne, elle vient d’Istanbul pour effectuer son premier 100 bornes… Ses parents, qui vont l’accompagner en vélo, l’attendent un peu plus loin.
C’est ensemble que nous passons les premiers ravitaillements, et que nous arrivons à Salbris après 15 kilomètres de course. Une fois dans la ville, nous voyons défiler en contre sens, la tête de la course. C’est l’occasion unique de voir tous ces champions en action. J’adresse un petit mot d’encouragement à Nadine Weiss que j’ai rencontré lors des 24h de Villennes et aux 6h d’Esquennoy. Un peu plus loin, je lance un « Allez Lolo » à mon ami qui a l'air en pleine forme. Un petit tour dans Salbris et direction La Ferté-Imbault. Les kilomètres défilent, Le moral de la troupe est au beau fixe. Pour l’instant, je ne ressens ni fatigue ni douleur, mais je sais qu’au minimum, je vais courir pendant 10h00 et qu’à cet instant nous en sommes à un peu plus de trois heures de course.
A Salbris, nous nous croisons…
Au 35ème kilo, Olivier doit s’arrêter pour un besoin naturel. Il nous demande de continuer, et qu’il va nous rattraper. Avec Cécile, nous ralentissons, mais notre compagnon a toutes les peines du monde à nous rejoindre… pire même, je trouve que le kikourou boite bas. Nous allons nous arrêter à notre tour, ce qui va reformer de nouveau notre trio.
Malgré tout, je sens bien que le groupe va éclater d’ici peu. Olivier boite beaucoup. Même avec un mental et une motivation au maximum, je le vois mal rallier Theillay… surtout à cette allure.
Au ravitaillement 8, peu avant le kilomètre 40, j’aperçois mes parents. Ils ont traversé le département pour venir me supporter. Lors de la halte nous sommes pointés par un bénévole. Très gentiment, il nous donne notre classement : 74ème sur 124 partants.
Depuis un moment, nous ne sommes plus doublés, mais nous dépassons au compte goutte.
Ca donne soif la course Ă pied !
Le petit monsieur avec la casquette beige, c’est mon papa !
Arrive enfin le marathon que nous franchissons en 4h17. Je décide d’accélérer pour récupérer le temps perdu sur les derniers tronçons. C’est là que je vais perdre mes compagnons. D’abord Olivier qui souffre de plus en plus du genou, puis Cécile, qui a peur d’augmenter sa vitesse au risque de le regretter plus tard. Pour elle, c’est désormais l’inconnu. La jeune femme n’a jamais été plus loin que les 42km195 du marathon. Je lui donne quelques conseils, lui fait part de ma petite expérience sur la distance, et la laisse en bonne compagnie : celle de ses parents !
Je rattrape rapidement mes minutes de retard et reprend mon allure de 5’50. Je suis toujours bien. Cependant, je fais attention de ne pas m’enflammer au risque de laisser trop de forces.
Régulièrement je trouve mes parents sur parcours. Ils m’encouragent énormément. Je suis réglé comme un métronome… certainement grâce à ma bonne préparation. Je passe le kilomètre 50 en 5h00 et le 55ème en 5h30… Plus que 4h30 de course !
Au ravitaillement du 60ème kilomètre, je rejoins Laurent. Il a pratiquement la tête dans la bassine d’eau. Je devine que pour lui c’est devenu pénible.
_ « Tu n’es pas parti trop vite ? »
_ « Oui pascal, un peu trop… Toi tu as l’air bien !… Vas-y Pascalou ! »
Je pensais qu’il allait prendre mes pas, mais en me retournant, je le vois déjà loin derrière.
J’essaye de me remémorer le parcours par rapport au film que j’ai fait l’année passée sur Hubert et son exploit… Je me doute que dans une dizaine de kilomètres, comme lui, je vais commencer à souffrir.
Les lignes droites sont très longues et les distances entre chaque concurrent sont énormes. Néanmoins, je reviens toujours sur des coureurs. A chaque fois que j’en double un, je lui demande s’il va bien. Les réponses sont souvent les mêmes : « Ca commence à être dur !… Ca tire ! » Je leur souhaite bon courage et je continue sur ma lancée.
L’un d’eux me dira : « Toi tu es bien, tu remontes… profites-en ! »
Ces deux derniers mots « Profites-en » me laissent perplexe. Combien de temps vais-je encore pouvoir courir ?
Toujours mes parents à intervalles réguliers. Ca me fait du bien. Je m’asperge d’eau et ils me donnent des nouvelles de Céline qui se trouve à seulement ¼ d’heure de moi. Chapeau la miss… Elle se défend hyper bien, même si je suis convaincu qu’après le 70ème kilomètre, elle va commencer à fléchir.
J’arrive à cette barrière des 70km en 7h02. Je suis toujours à la même allure, mais les arrêts aux ravitaillements sont un poil plus longs. La chaleur me plombe sur les lignes droites, et je regagne un peu d’énergie quand je passe dans les endroits ombragés. Je me concentre sur le parcours et coupe les trajectoires au plus court.
Je vais rattraper un coureur au maillot orange, casque audio vissé sur les oreilles. Le coureur alterne marche et course. C’est au ravitaillement suivant que je vais reconnaître Vincent, dit Vince. 2ème au scratch et 1er senior lors des 24h de Villennes. Le coureur de l’UMF est moins dans sa bulle qu’au mois de mai. Il m’adresse un sourire et me dit qu’on tient le bon bout… plus que quelques kilomètres à faire… Encore 20 quand même !
Je regarde ma montre très souvent. Le temps ne passe pas vite. Je prévois une arrivée vers 10h00 de course et là , je n’en suis qu’à 8h06… « Mince encore 3 minutes de perdues… à cause d’une halte trop longue ! »
A chaque ravitaillement, je dis bonjour aux bénévoles et que je suis heureux de les voir. Eux, ils sont aux petits soins et ils ont toujours un mot gentil à nous donner… Une femme n’en revient pas de me voir aussi frais…
J’arrive sur les portions ou Hubert craquait l’année dernière. Les douleurs sont bien présente, mais je cours toujours. Mon corps, bien que mécontent de ce que je lui fais subir, ne râle pas. Pourtant, je commence à calculer le temps que je perdrai si je m’octroyais quelques kilomètres de marche…
L’envie de souffler se fait de plus en plus présente. Je pense à Pcap… Francine, Marc, Isa… Je ne veux pas les décevoir ! Je ne sais pas ce qu’est advenu de Laurent. A-t-il abandonné ?
Retour à La Ferté-Imbault ou je traverse la Sauldre. 500 mètres après la sortie du village, se trouve le ravitaillement ou j’avais filmé Jihèle. Mes parents sont là . Je leur dit que c’est sur la prochaine partie du parcours qu’Hubert avait le plus souffert. Il me reste 10 petits kilomètres et j’en suis à 9h12 de course. Ma mère m’encourage et m’ordonne presque de continuer sur le même rythme. La ligne droite qui suit doit faire plus de 3000 mètres. Je n’en vois pas le bout, et toujours sous la chaleur sans un brin d’ombre. Le regard rivé sur l’horizon, je serre les dents et je guette le moment ou je dois bifurquer à gauche. Sur le bord de la route, un monsieur m’applaudit et s’étonne de me voir courir à cette allure sur ce faux plat montant. Enfin, je quitte la longue route. Le dernier ravito est sur la droite. A quelques mètres se trouve le panneau « 95 ». Bizarrement c’est aux 96 et 97ème kilomètre que je vais vraiment cogiter… De nouveau je pense à mes amis et mes parents. Ce serait vraiment ballot de marcher maintenant !
On devrait commencer un 100 borne ici…
Au loin, j’aperçois le maillot d’Edouard Tinaugus, que j’avais rencontré au 100km de Paris. Je le double devant le panneau « 98 ». Je lui dis « Courage… plus que deux petits kilo ». Hélas, l’athlète du club de la RATP, Marathonze, est au bout du rouleau.
Je vais encore passer un autre coureur. Il va tenter d’emboîter mes pas, mais doit se résoudre à me laisser partir…
Retour au point d’origine…
Panneau « 99 ». J’essaye d’accélérer. Je donne tout ce qu’il me reste, c’est à dire pas grand chose ! Je n’en reviens pas de courir encore. Le plan d’entraînement que m’a confectionné Laurent était parfait. Virage à droite pour quitter la grande route. Un gamin m’applaudit, je le remercie. Virage à gauche et dernière ligne droite. Je vois la banderole. Nadine et Jihèle m’encouragent et me félicitent déjà . Le speaker annonce mon nom. J’ai le regard rivé sur la ligne d’arrivée. Juste derrière, je vois le photographe officiel de la course. Je lève les bras… 10h12’53’’. Je suis super heureux !
Mes parents également… Ce n’est que du bonheur !
On me remet le tee-shirt, et un bénévole me propose une boisson fraîche… Je prendrai deux bières… une pour chaque jambe.
Après un petit massage bienfaiteur, j’assiste à l’arrivée de Laurent. Le kéké Pécapien est heureux pour moi. Lui, il a profité de l’épreuve pour préparer les 24h de Royan. Je voudrais lui dédicacer ma course, ainsi qu’a tous les membres du site qui m’ont encouragé…
Cécile finira son premier 100km en 10h49. je trouve son chrono exceptionnel pour une première.
Quant à Olivier, il aura été au bout de la course en 13h58…
Je suis désolé d’avoir été si long. Et je vous remercie de m’avoir lu.
Message édité par : Pascal75 / 03-09-2010 20:25
 Profil
runningjuan 2946 gniaqueur Coureurzebra 12299 propulseur Coureuse Posté : 03-09-2010 19:58
tu n'as pas à être désolé, tu n'as pas à t'excuser!
tu as été parfait!
tu n'aurais pas pu faire mieux je crois!
un récit magnifique, une course splendide!
une Ă©preuve exceptionnelle!
et quel mental!!!!
personnellement, je te place en haut du podium des extraterrestres!
bravo Ă toi pascal!  Profil
BreizhRunner 1624 gniaqueur Coureur Posté : 03-09-2010 20:05
CR très détaillé, on pouvait te suivre.
Tu as réalisé une sacrée performance, bravo à toi.
 Profil www
Pascal75 3467 gniaqueur Coureur Posté : 03-09-2010 20:21
Merci Juan, zebra, Breizh...
Oh purée... vous êtes formidable !
je ne sais pas quoi vous dire...
Merci du fond du coeur.  Profil
soleia 47539 Ă©claireur Coureuse Posté : 03-09-2010 20:27
Il est très beau ton CR. Il me donne beaucoup envie. Même si je sais que je ne pourrai jamais y arriver.
Tu as fait une très très belle course, un très grand bravo ---------------
Un héros, c'est celui qui fait ce qu'il peut. Les autres ne le font pas.
(Romain Rolland)
 Profil
Laplombe 2424 gniaqueur Coureur Posté : 03-09-2010 20:29
Un grand bravo Pascal pour cette epreuve que tu as assuré de bout en bout
C'est un vrai plaisir de te lire
Bonne recup et A bientot  Profil
pgaz 9068 Beer Posté : 03-09-2010 20:42
Pascal, c'est grandiose ce que tu as réalisé. Au delà de la perf, courir presque 60 bornes
tout seul et faire les 10 derniers km en 1h, c'est magnifique. Chapeau bas.
En ce qui concerne les objectifs, tu as raison. Si tu arrives à avoir 2 ou 3 pics de grande forme dans l'année,
c'est dĂ©jĂ très bien. RV au MĂ©doc et reposes-toi bien.  Profil www
francinedefi 15344 propulseur Coureuserogers 13143 propulseur Coureur Posté : 03-09-2010 20:47
REMARQUABLE :
Oui REMARQUABLE, tu as couru ce 100 km comme un maestro, les chronos intermédiaires parlent d'eux même : 50 kms 5 h
70 kms 7 heures 02.
Tu as superbement bien géré ton 100 kms grâce certes, à une grosse préparation (680 kms sur 2 mois) mais surtout aussi par un sacré mental.
Et l'alimentation comment as tu géré par rapport aux longues courses précédentes ?(problème commun jusqu'à ton superbe exploit).
Bref BRAVO l'artiste tu as géré comme un "vieux routard expérimenté"
 Profil
eric92 12504 propulseur Coureur Posté : 03-09-2010 21:51
Oh la V... je suis sur le C..
j'avais déja vu ton chrono mais là ton CR me laisse admirateur.
Un grand Bravo
J'avais déjà perçu en toi un "grand bonhomme" à Villennes maintenant j'en suis convaincu.
Que ce soit par le sportif mais aussi par l'ĂŞtre humain et sa gentillesse tu as tous mon respect.
Encore bravo car c'est une course de maitre que tu nous livre ici.
Repose toi bien et au médoc c'est avec plaisir que je te retrouverai.
Eric
 Profil www
MARC78 12352 propulseur Coureur Posté : 03-09-2010 22:09
Trop long ton CR !!??
Ben non ... j'en redemande encore !!
Un direct-live quelques jours après !!
On sent une facilité de course dans ton récit, même si sur la fin tu as "légèrement" fléchi, tu as fait un 100km de toute beauté Pascal l'E.T !!!
Je suis super heureux pour toi ! Un chrono d'enfer doublé d'un super classement !
De très bonne augure pour ton 24h00 de Royan !
Un immense bravo Pascal !!!
Et je remarque qu'effectivement ton maillot n'est plus taché de sang !!
10km: 44'23"(2011) - Semi-marathon: 1h40'38"(2011) - Marathon: 3h27'07"(2008) - 6H: 63,936km - 12H: 107,136km - 24H: 189,216km(en 2008 pour les 3) - 100km: 10h33'05"(2009)  Profil E-mail www
Sydoky 845 meneur Coureuse Posté : 04-09-2010 00:05
Félicitations pour tout ! Quelle régularité, je suis impressionnée Sylvie
10km Humarathon Vitry sur Seine: 47'57 (2010), Semi-marathon Rueil : 1h45'27 (2010), Mararathon Seine-Eure : 3h43'55 (2010). Foulées de la Soie 2008 : 150km (10 courses) 18h30.
 Profil www
Axioum 3685 gniaqueur Coureur Posté : 04-09-2010 01:01
Bravo Pacal
Super course, super CR
Bonne prĂ©pa, bonne gestion de la course et beua chrono! Chapeau.  Profil
marino 5239 gniaqueur Coureuse Posté : 04-09-2010 08:40
un grand bravissimo pour cette course quelle gestion de course
super plan d'entraînement et un sacré mental encore félicitations
 Profil
Laurent35 5364 gniaqueur Coureur Posté : 04-09-2010 17:15
Chapeau bas Pascal ! 100 bornes sur bitume, ça me semble infaisable. Quand je vois ces longues lignes droites, j'en suis fatigué d'avance.
Quel mental !!!  Profil
Pascal75 3467 gniaqueur Coureur Posté : 04-09-2010 19:33
Encore Merci pour vos messages qui me font chaud au coeur.
Je ne suis pas un E.T.... je me suis bien rendu compte que je ne peux pas enchainer les courses comme certains et certaines le font !
Francine : Le chrono que tu feras a Millau sera forcément différent. Le relief du parcours est incomparable. Je suis certain que sur la sologne tu peux faire aussi bien que moi, sinon mieux
Marc : bonne chance pour ton Millau... Et oui, ton conseil a été tout benef... en plus d'éviter le frottement, je me suis senti super bien dans le maillot. C'est la première fois que je le mettais, et bien ça ne sera pas la dernière. Tous les muscles ne bougent pas... c'est vraiment agréable. Je conseille à tous les fondus... et même aux autres d'en porter un !
Roger: pour les ravitos... j'ai une peu fait comme d'habitude, mais là j'étais bien préparé.
Pour info, je me suis arreté a tous les ravitaillements. jusqu'au 40ème je prenais une fois sur deux un coca puis un perrier + un morceau de banane puis l'autre fois coca et eau plate + Pates de fruit. après presque plus de solide... sauf au 65 : 2 tranches de pain d'épice, et au 70 un morceau de gateau... sinon de temps en temps abricots secs. Tous les autres ravitos, je conjuguais liquide sucré puis derriere eau plate ou salé. et tous les 10Km powerade... Si tu as un accompagnateur, il faut qu'il t'en transporte 1 ou 2 bidons... ça fait du bien
Franchement, je n'aurais jamais cru tenir sur le mĂŞme rythme pendant 10h00.
J'étais bien préparé... et j'ai peut-être eu beaucoup de chance
soleia : je suis certain que tu peux y arriver... certes peut-être pas à 10km/h... Il faut trouver la bonne vtesse Une bonne préparation... et du courage... c'est une partie de la réussite
Encore merci de vos messages... vous êtes super ! Message édité par : Pascal75 / 04-09-2010 19:40
 Profil
rogers 13143 propulseur Coureur Posté : 04-09-2010 21:26
Merci pour les renseignements alimentaires, ils me serviront l'année prochaine.
Encore une fois
BRAVO  Profil
dracir 1025 gniaqueur Coureur Posté : 04-09-2010 21:31
Eh bien! Super récit! Il faut vraiment te remercier car lire des histoires de course pareilles ça donne juste envie de mettre ses baskets et de filer sur la route!
Je n'ai pas suivi ta prépa mais vu la maîtrise dont tu as fait preuve j'imagine que ça a été du beau boulot!
FĂ©licitations, j'espère que tu es fier de toi!!  Profil
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